Nous connaître

Le conseil général

de gauche à droite : Jeannine LEGERE (USA), Olga KIENDREBEOGO (Burkina Faso), Ann ALMODOVAR (France), Abiola ADIGBOLUJA (Nigeria) et Anne-Marie LE PABIC (France)

Notre spiritualité

Pour nous, Filles du Saint-Esprit, « il n’y a pas de mission sans adoration, sans appel à l’Esprit pour qu’il renouvelle la face de la terre. » Depuis nos origines, nous consacrons notre vie aux moins favorisés. Pour vivre cela au quotidien, nous puisons dans l’amour Trinitaire, la force d’aimer, et nous prions spécialement l’Esprit Saint.

Nous aimons aussi prier la Vierge Marie ; nous voyons en elle une femme totalement livrée à l’Esprit. Nous célébrons de manière toute spéciale les fêtes de la Pentecôte et, le 8 décembre, de l’Immaculée Conception.

Nous participons à la prière du peuple avec qui nous vivons. Et c’est avec d’autres croyants que nous cherchons à entendre, pour aujourd’hui, la parole que Dieu nous dit à travers l’Ecriture et les événements (Règle de vie des Filles du Saint Esprit). La Parole de Jésus dans l’Evangile de St Mathieu : « Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à Moi que vous l’avez fait » (Mt 25, 40), nous appelle et nous stimule à nous

Notre histoire

Quelques dates importantes

1706. Au port du Légué, dans la baie de Saint-Brieuc, en Bretagne, France, le 8 décembre 1706, deux femmes d’origine modeste, Marie Balavenne et Renée Burel, s’engagent à vivre ensemble pour servir Dieu en servant les pauvres, les malades et les enfants. Elles sont encouragées et soutenues par Jean Leuduger, prêtre diocésain, directeur des Missions en Haute Bretagne.

1733. Les sœurs demandent et reçoivent l’approbation officielle de l’Eglise diocésaine. Elles sont connues sous le nom de  » Sœurs de la Charité de Plérin  » ou  » Sœurs blanches « , ou  » Filles du Saint Esprit « .  » Les maisons de charité  » sont surtout établies dans les paroisses de campagne.

1789. Révolution française : suppression des congrégations religieuses.  Les 75 Filles du Saint-Esprit doivent se disperser, mais  elles gardent au cœur la fidélité au charisme :  » Aimer et servir Jésus-Christ dans la personne des pauvres.  » La Révolution passée, la plupart des communautés se reconstituent et d’autres sont fondées dans toute la Bretagne.

Au 19ème siècle. Dans la société du 19ème siècle, les Filles du Saint-Esprit se mettent au service des pauvres de toutes les manières possibles, notamment au moment des épidémies : choléra, dysenteries, typhus… Elles  cherchent à répondre  aux besoins du temps. Elles vivent simplement parmi le peuple et participent aux prières de la paroisse.

1901-1905.  En 1902, à cause des lois de laïcisation, les fermetures des écoles se succèdent et provoquent le départ des sœurs à l’étranger. La Congrégation s’ouvre alors vers l’extérieur : Belgique, Hollande, Grande Bretagne, Etats-Unis, Canada. Cette confrontation  à des cultures différentes  modifie et enrichit, pour les sœurs,  la manière de vivre le service de Dieu et des pauvres.

Toujours en réponse aux appels de l’Eglise, la Congrégation envoie des sœurs
– en 1936, en Mandchourie, d’où elles seront expulsées en 1951, à l’avènement du régime communiste.
– en 1954, au Nord Cameroun
– en 1962, au Chili
– en 1964, au Nigéria
– en 1974, au Tchad
– en 1979, au Pérou
– en 1994, au Burkina Faso
– en 1994, en Roumanie.

1994. La Congrégation des sœurs de Notre Dame de Briouze, Normandie, fusionne avec la Congrégation des Filles du Saint Esprit.

1987. Engagement des premiers Associés aux Etats-Unis. 1996. Reconnaissance officielle des Associés, hommes et femmes attirés par la tradition spirituelle de la Congrégation pour le développement de leur vie baptismale et le service de l’Evangile.

2003. La Congrégation des sœurs Hospitalières du Saint Esprit de Poligny, Jura, fusionne avec la Congrégation des Filles du Saint Esprit.

2003. Fondation de la Branche séculière Filles du Saint Esprit (laïques consacrées)

Marie Balavenne, Renée Burel & Jean Leuduger

Les Filles du Saint-Esprit forment une congrégation religieuse née en 1706 en Bretagne. Les deux fondatrices, d’origine modeste, Marie Balavenne, veuve, et Renée Burel étaient du port du Légué et de la paroisse de Plérin, près de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) où les pauvretés étaient criantes au début du xviiie siècle. Elles s’engagent à vivre ensemble simplement dans ce peuple, pour le service de Dieu, des pauvres, des malades, des enfants. Elles sont encouragées par M. l’abbé Jean Leuduger, prêtre diocésain, docteur en théologie, directeur des Missions de Haute-Bretagne.

Où nous sommes

Nos états de vie

Les religieuses apostoliques

Les religieuses apostoliques sont des femmes qui, ayant été saisies par le Christ, s’engagent par vœux à le suivre en lui consacrant toute leur vie dans la chasteté, la pauvreté, l’obéissance.

Elles vivent en communauté avec d’autres sœurs. La prière, personnelle et communautaire, est au cœur de leur existence quotidienne.

Ensemble, en Eglise, elles se veulent attentives à la voix de l’Esprit-Saint et elles s’efforcent, avec d’autres, de traduire, en actes, la parole de Jésus : « Ce que vous avez fait à l’un de ces petits d’entre les miens, c’est à Moi que vous l’avez fait. » (Mt 25)

Par la fraternité entre elles, par la mise en commun de ce qu’elles ont et de ce qu’elles sont, elles cherchent à vivre une solidarité de plus en plus concrète avec les moins favorisés, et entre les Filles du Saint-Esprit de tous les pays.

Les associés

Les Associés sont des hommes et des femmes, de toutes origines et de tous âges, attirés par le charisme et la spiritualité des Filles du Saint-Esprit. C’est ainsi qu’ils s’engagent à en vivre dans leur vie de tous les jours : famille, travail, loisirs, dans leurs engagements en Eglise et/ou dans la société. Ils ont des rencontres régulières et participent à des réunions de formation, des journées de récollections, des retraites spirituelles. Les Associés sont de plus en plus nombreux dans toutes les pays où est présente la Congrégation. Depuis quelques années, les liens se développent de plus en plus entre eux, au plan national et international.

Les laïques consacrées

Les Laïques consacrées sont des femmes célibataires, enracinées dans leur consécration baptismale, engagées par les vœux évangéliques de célibat, de pauvreté et d’obéissance dans la Branche Séculière Filles du Saint-Esprit. Elles vivent de la spiritualité de la Congrégation des Filles du Saint Esprit et selon des statuts propres reconnus par L’Eglise. Elles se rassemblent en assemblée générale une fois par an et chacune rejoint régulièrement un petit groupe composé d’autres laïques consacrées Filles du Saint Esprit, pour un temps de fraternité, de partage de foi et de prière ensemble.

Elles témoignent de leur consécration par une présence simple, discrète, à la manière d’un ferment d’Evangile au milieu du monde. Elles demeurent proches et solidaires de ceux qu’elles rencontrent spécialement les moins favorisés. Elles sont présentes aux Etats-Unis, au Chili et en France.

Le Chapitre Général de 2021

Fin de chapitre : une très particulière journée

Fin de chapitre : une très particulière journée

Dimanche matin, 15 août 2021, les déléguées du Chapitre se sont réunies une dernière fois pour confirmer le procès-verbal des délibérations. Juste avant nous nous étions retrouvées dans nos Unités pour planifier la manière dont nous communiquerions les Orientations...

Election des Conseillères générales

Election des Conseillères générales

Le Chapitre Général des Filles du Saint-Esprit a continué son discernement pour élire quatre Conseillères Générales : Sœur Abiola ADIGBOLUJA (Nigeria) Sœur Anne-Marie LE PABIC (France) Sœur Jeannine LEGERE (USA) Sœur Olga KIENDREBEOGO (Burkina Faso). Ensemble, avec Sr...